mercredi 9 juin 2010

Crysis

C'est ainsi que je ne suis retrouvé à jouer une douzaine d'heure d'affilée à Crysis sous le regard consterné de mes collègues, il fallait bien que toutes ces années de sevrage aux fps se payent. Je n'ai pas eu le temps de finir le jeu, je me suis arrêté quand mes réflexes ne répondaient plus présent.